La neuvième édition de Viva for Life se tiendra dès ce vendredi et pour 144 heures sur la grand-place de Tournai, on fait le point avec Marco, l’animateur de Tipik, le petit dernier à rejoindre l’aventure.
Sur la Grand-Place de Tournai, alors qu’on s’active pour finir les détails de cette neuvième édition de Viva for Life, Sara, Ophélie et Marco découvrent, de l’extérieur pour l’instant, le cube de verre à l’intérieur duquel ils vont vivre pendant 144 heures, sans pouvoir en sortir.
Si Ophélie Fontana et Sara De Paduwa ont déjà vécu l’expérience par le passé, Marco, l’animateur de Tipik va, lui, découvrir totalement l’expérience. « Forcément, il y a un peu de stress, avoue l’animateur. Mais c’est du bon stress, du stress positif, voire même un stress d’excitation. Je suis rechargé à bloc, comme un coucou. J’ai énormément de motivation et de bonne humeur à partager. Nous sommes là pour rassembler une grande armée de solidarité. On est là pour motiver les troupes et je suis au taquet. »
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Cela fait trois jours que j’hiberne. J’ai bien rechargé les batteries pour bien y aller à fond pendant ces 144 heures.
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Avant de vivre l’aventure Viva for Life, l’animateur radio n’a évidemment pas manqué de demander conseil à ses futures équipières. « Et le meilleur conseil qu’elles m’aient donné est de dormir, rigole l’intéressé. Du coup, cela fait trois jours que j’hiberne. J’ai bien rechargé les batteries pour bien y aller à fond pendant ces 144 heures. »
Pendant ce marathon solidaire, les animateurs de la RTBF promettent évidemment énormément de surprises. « Il y aura de la bonne musique, de l’émotion, du partage, de la solidarité, des shows cases avec les artistes, des moments émouvants, détaille Marco. Il s’agit de la grande fête de la solidarité et on en a bien besoin. »
Si on parle de fête, les Sara, Ophélie et Marco n’ont pas manqué de rappeler qu’ils étaient d’abord là pour faire parler d’une cause qui reste dramatique. « Ces chiffres sont plus que alarmants, précise encore Marco. Un enfant sur quatre vit sous le seuil de pauvreté. C’est intolérable en 2021. On ne peut pas faire subir ça à des enfants. Ils ont cette insouciance qu’on doit leur laisser, que nous on avait quand on était enfant. On se doit d’agir pour qu’ils aient un avenir meilleur. »
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Un enfant sur quatre vit sous le seuil de pauvreté. C’est intolérable en 2021. On ne peut pas faire subir ça à des enfants. Ils ont cette insouciance qu’on doit leur laisser, que nous on avait quand on était enfant.
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