Laurence Boccolini s’est livrée à cœur ouvert.
© Julien KNAUB – FTV
L’animatrice de France 2 a annoncé à Télé 7 jours qu’elle avait rompu avec son mari, Mister Tahiti 2003, Mickaël Fakaïlo. Elle s’est confiée sur sa nouvelle vie.
« J’ai envie de rétablir quelques vérités. » Laurence Boccolini a accordé une longue interview pour le magazine Télé 7 jours. L’animatrice de « Tout le monde veut prendre sa place » s’est longuement exprimée sur son ancien mari, Mickaël Fakaïlo, deuxième dauphin de Mister France en 2003, qui a partagé sa vie durant de longues années. « Je suis une maman célibataire, depuis quelques années maintenant, et, pourtant, dans certains articles ou sur le Net, on dit toujours ‘l’épouse de…’. Ce n’est pas la vérité, car je suis divorcée depuis de nombreuses années, et comme ça se passe très bien, que Willow a la chance de ne pas avoir des parents qui se disputent ou se déchirent, j’ai eu le désir de parler de ma vie telle qu’elle est aujourd’hui. Jusque-là, je n’avais pas envie de le faire. »
«Ma mère m’a manqué tout le temps»
C’est donc en tant que mère célibataire que la star de télévision concilie désormais sa carrière et l’éducation de sa petite Willow, âgée de 8 ans. « Enfant, j’ai trop souffert de ne pas voir ma mère. Ça m’a peinée de ne pas pouvoir partager des anniversaires ou des goûters avec elle. D’aussi loin que je me souvienne, ma mère m’a manqué tout le temps. Je ne voulais pas ça pour ma fille », confie-t-elle.
Des contraintes
Cependant, Laurence Boccolini reconnaît qu’il y a quelques contraintes dans sa vie « comme toutes les femmes qui sont dans mon cas » « Comme quand, en plein tournage, la baby-sitter m’annonce qu’elle est coincée dans le métro. C’est une angoisse permanente, une charge mentale énorme, mais c’est un choix qui a aussi de super côtés, car ma fille est heureuse et équilibrée. Moi, je n’ai plus de famille, j’ai perdu mes parents il y a longtemps, mais j’ai la chance d’être bien entourée. Le parrain et la marraine de Willow sont mes meilleurs amis, ils sont là pour elle. Lorsque je suis tombée très malade en rentrant d’Afrique du Sud, ils ont répondu présent. On a recréé une famille. »