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«Le théâtre a toujours été mon flux de vie et de désir»

par Chronique France
février 6, 2022
sur Nouvelles Recentes
«Le théâtre a toujours été mon flux de vie et de désir»

À 77 ans, la comédienne retrouve les planches du théâtre de l’Odéon pour incarner une femme au seuil de sa vie, sous la direction du jeune prodige Alexander Zeldin. Interview.

Paris Match. Qu’est-ce qui vous a plu dans l’idée de jouer une mère en Ehpad ?
Marie-Christine Barrault . Ce qui m’a plu avant tout, c’est Alexander Zeldin, le metteur en scène. On s’est rencontrés une première fois en mai dernier via Zoom, j’étais à Paris, lui à Londres. Pendant nos deux heures de conversation, j’ai été séduite. Le thème de la fin de vie me passionne et j’étais curieuse de savoir ce qu’il en ferait. C’est un Anglais de 36 ans qui a une vision très personnelle du théâtre. Il est très proche du réel, il va au cœur des êtres humains. Dès juin, nous avons participé à des séances de travail pour que tous les comédiens se rencontrent. En septembre, il nous a fait faire des exercices – ce que je n’avais jamais fait dans ma vie de comédienne. J’ai adoré ça. C’est à ce moment-là que nous avons commencé à inventer ensemble les personnages. Et c’est à partir de là qu’il s’est mis à écrire la pièce, en français de surcroît!

Que projette-t-il en vous? Vous incarnez une femme de 84 ans qui s’apprête à quitter le monde des vivants.
Pour moi, c’est vraiment un rôle de composition, dans la mesure où j’ai dix ans de moins que le rôle et que je porte en moi une énergie folle. En revanche, ses préoccupations me parlent : la fin de vie et l’approche de la mort sont des questions fondamentales pour moi. Je suis effarée de voir les gens de ma génération occulter complètement cette idée de fin de vie. Mais je n’ai pas peur de la mort. Au contraire, je la vois comme une manière de terminer glorieusement l’existence.

Il faut savoir soigner sa sortie ?
Oui. Je suis encore obsédée par l’histoire de ma grand-mère, la mère de mon père et de mon oncle Jean-Louis Barrault, décédée dans ses bras. Ses derniers mots ont été : “Si tu savais, c’est merveilleux…” Moi, je voudrais vraiment mourir en étant capable de vivre mon dernier instant, comme un point final qui donne un sens à tout ce que j’ai vécu avant. Bon, après, si je meurs écrasée par un autobus, je risque de ne pas avoir le temps d’y penser [Elle rit.)

Pendant les répétitions de « Une mort dans la famille». © DR

Pourquoi est-ce si important pour vous?
J’ai perdu mon père à l’âge de 14 ans. J’avais 8 ans quand il est tombé malade et je l’ai vu devenir un cadavre vivant pendant six ans. Quand il est décédé, ma mère m’a juste dit: “L’enterrement a lieu jeudi.” Elle n’a pas pris cinq minutes pour me demander si j’avais du chagrin… Trois ans plus tard, j’ai vécu la mort de mon beau-père. Plus récemment, j’ai accompagné Vadim, mon amour fou, jusqu’à son dernier souffle. Donc elle m’accompagne depuis longtemps…

Mais pourquoi la montrer sur une scène de théâtre?
J’ai rarement eu autant l’impression de faire quelque chose d’utile en jouant cette pièce. Mais il y a un clivage autour de moi. Certains me disent: “Tu ne nous en voudras pas si on ne vient pas te voir ?”. D’autres ont hâte de venir. Cela veut dire que la mort fait encore peur. Mais le théâtre est le lieu où l’on peut apporter toutes nos difficultés, tous nos questionnements, nos chagrins, nos peines et nos joies. Si le théâtre ne sert pas à ça, il sert à quoi ?

À divertir ?
Bien sûr, mais ça ne peut pas être que ça. C’est avant tout le lieu de la réflexion la plus profonde. Mais ce n’est pas une pièce triste pour autant, il y a même des moments très drôles dans l’Ehpad…

« 

Je voudrais vraiment mourir en étant capable de vivre mon dernier instant, comme un point final qui donne un sens à tout ce que j’ai vécu avant

« 

Vous fréquentez les planches depuis cinquante-huit ans… Avez-vous le même rapport au théâtre qu’à vos débuts ?
Oui, c’est la même fougue. Mais maintenant, je peux utiliser tout le poids de mon existence sur scène. Et Dieu sait combien j’ai eu une vie riche, pleine de bonheurs comme de difficultés et de douleurs. Tout ça, je le mets dans mes rôles et ça les rend de plus en plus intéressants. Quand on a 23-24 ans, on n’a vraiment pas vécu grand-chose, alors qu’à mon âge, c’est toute la vie qui est en nous. Mais il faut aussi une grande dose de courage pour se mettre à nu. Dans cette pièce particulièrement, tout le glamour du théâtre n’existe plus. Parce que, pour jouer une vieille femme qui meurt en Ehpad, côté coiffure et maquillage, ce n’est pas exactement ça [Elle rit.) Donc, en ce moment je vis dans une nudité morale, physique, sentimentale et affective, celle de quelqu’un qui va vers la mort en abandonnant tout. Heureusement, dans mon quotidien, c’est l’inverse! [Elle rit.)

C’est la perspective de jouer qui vous maintient en vie ?
Si je ne jouais plus, je mourrais d’inanition. Le théâtre a toujours été mon flux de vie et de désir. Et j’ai un désir illimité. Au moindre coup de téléphone, si je vois qu’il y a un projet de travail derrière, je frétille comme une jeune fille à son premier rendez-vous amoureux. Aujourd’hui, je n’ai plus d’homme dans ma vie, j’ai deux enfants adorables et des petits-enfants merveilleux. Mais ils n’ont pas besoin de moi et je n’ai pas besoin d’eux. Toute mon énergie va vers le travail.

Vos enfants n’ont jamais souffert de ça?
Mon fils ne peut pas entrer dans une salle de théâtre… Là, je lui ai carrément déconseillé de venir. Assister à la mort de sa mère au théâtre, ce n’est vraiment pas pour lui. Quant à ma fille, elle comprend un peu plus, mais elle n’aime pas ça non plus… Pourtant je ne les ai pas emmerdés! Jamais je ne les ai obligés à venir me voir. Je leur ai expliqué que c’était quand même grâce à mes rôles que l’on a eu de quoi vivre… Mais aujourd’hui, ils se foutent complètement de mon métier. Ils me racontent leurs histoires au téléphone, mais ils ne me demandent jamais comment mes répétitions se passent. C’est incroyable! Je vendrais des légumes sur le marché, ce serait pareil… En même temps, ma première petite-fille est en train de devenir actrice. Et c’est une belle continuité pour moi.

« 

Si je ne jouais plus, je mourrais d’inanition. Au moindre coup de téléphone, je frétille comme une jeune fille

« 

Parfois, le théâtre a pu vous aider à surmonter des épreuves? La mort de Vadim par exemple?
Il est mort un vendredi. Le lundi, il y a eu une messe à Paris, le mardi et le mercredi, j’étais sur scène à Nîmes avec “Un barrage contre le Pacifique” et le jeudi, il était inhumé à Saint-Tropez. Ce mardi et mercredi-là, ma fille chérie était quand même venue avec moi pour me tenir la main. Je ressens encore la standing ovation du public à la fin de la représentation. Ces deux heures et demie passées sur scène ont été volées au chagrin et au désespoir. Elles m’ont donné une force incroyable. Dès que le rideau est tombé, je suis allée me cacher pour pleurer toutes les larmes de mon corps.

Vous n’avez jamais envisagé d’annuler?
Pas une seconde. [Elle rit.) Le vendredi de sa mort, je ne suis pas allée jouer à Gap. C’est le seul jour de ma vie où j’ai annulé une représentation.

«Maintenant, je peux utiliser tout le poids de mon existence sur scène. Et Dieu sait combien j’ai eu une vie riche, pleine de bonheurs comme de difficultés et de douleurs.» © Hélène Pambrun / Paris Match

Vous n’aviez pas joué dans un théâtre public depuis de nombreuses années. Sentez-vous une différence avec le théâtre privé?
Ce n’est pas une différence, c’est carrément une frontière! Ce sont deux mondes qui ne se connaissent absolument pas. Là, par exemple, quand Pierre Cassignard est mort, personne ne savait qui c’était au théâtre de l’Odéon. Alors que, dans le théâtre privé, tout le monde l’adorait. Comment est-ce possible de s’ignorer à ce point? Alors oui, c’est vrai que certaines stars cachetonnent dans le privé, mais c’est aussi vrai que le théâtre subventionné, c’est la vie de château. Je suis par exemple payée en ce moment au mois, depuis le premier jour des répétitions. Les vrais moyens pour monter de grands spectacles sont dans le public. La preuve, on répète en ce moment avec 30 personnes sur le plateau.

Donc vous dites que c’est mieux dans le public?
C’est plus confortable. Mais il y a des contraintes. On ne joue qu’un mois. On ne peut se produire que dans des grands théâtres subventionnés en Europe parce que le décor nécessite quatre jours de montage. Moi, je ne veux pas faire partie d’un clan. Au dernier Festival d’Avignon, j’ai joué dans le Off avec une petite troupe d’Orléans un très joli spectacle sur le poète Eugène Guillevic. Eh bien, je ne suis pas sûre qu’on arrive à la reprendre par manque de moyens.

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Le cinéma ne me manque pas vraiment. Parce que c’est l’art de la jeunesse, de la beauté, du glamour

« 

Côté cinéma, votre carrière semble au ralenti.
Oui, je ne fais plus grand-chose. Mais là, j’ai un projet adorable qui se profile avec Jean-Luc Ayach, le rôle d’une vieille dame qui tombe amoureuse… Le cinéma risque donc de revenir un peu dans ma vie.

Il vous manque?
Pas vraiment. Parce que c’est l’art de la jeunesse, de la beauté, du glamour. Mais je m’aperçois que Françoise Fabian et Fanny Ardant ont récemment eu des rôles intéressants. Ne parlons pas de Catherine Deneuve qui truste à elle seule le cinéma français pour les comédiennes de ma génération. Cela dit, personne ne trouve bizarre que Clint Eastwood tourne toujours. Alors qu’une femme, dès que les rides apparaissent et que ses seins tombent, on a moins envie de la montrer…

Le mouvement #MeToo vous a parlé?
Il m’énerve autant qu’il me passionne. Je viens de voir “Les choses humaines” d’Yvan Attal et c’est génial de subtilité. Ma fille, qui distribue le film, a demandé à ses trois enfants de le regarder. Pour que sa fille apprenne à dire non. Et pour que ses garçons apprennent à attendre le oui. Disons que je préfère cette attitude positive aux coups de massue. Bien sûr qu’il y a des hommes immondes, mais il y en a aussi des merveilleux! D’autant que moi, je n’ai jamais subi les assauts insupportables des hommes…

Vadim réagirait comment face à notre époque?
Il serait très malheureux. Il comprendrait le mouvement, mais il était tellement à l’opposé de ça, tellement respectueux de la liberté des femmes… Moi j’ai eu la chance de rencontrer des hommes comme lui. Et cela ne me pousse pas à un mouvement de révolte. Parce que j’ai eu aussi l’impression de vouloir séduire. Et il y a peut-être des hommes qui se sont sentis brusqués par mon comportement… [Elle rit.)

Vous étiez plus libre, plus sereine dans les années 1960 ou 1970 ?
Je suis de la génération la plus chanceuse. On a pris le pouvoir, on a pris notre indépendance grâce à la liberté sexuelle due à la contraception puis à l’avortement. On a vécu une période bénie. À 12 ans, je m’imaginais actrice et mère de famille. Et ma vie, au final, ressemble pas mal à cela. Moi je ne voudrais pas être une jeune femme d’aujourd’hui, ce monde est devenu si violent que la nuance a disparu du paysage.
Il y a quelque chose de symbolique dans le fait de retrouver ce théâtre de l’Odéon dirigé pendant longtemps par votre oncle Jean-Louis Barrault.
C’est joli… mais j’ai pris beaucoup de distance par rapport à lui. Je lisais récemment un texte d’Anny Duperey qui expliquait que Jean-Louis lui avait tout appris, qu’il avait été comme un père pour elle. J’ai ressenti une grande tristesse en me disant qu’il n’y avait pas eu ce lien entre lui et moi, sa seule nièce…

« 

Vous n’imaginez pas combien Jean-Louis et Madeleine avaient mis la barre haut. Je ne voulais pas être une petite actrice à cause de cet héritage

« 

D’où est venue la cassure entre vous?
Dès le départ, lui et Madeleine [Renaud) n’ont pas cru en moi. Ils pensaient que je voulais faire ce métier par paresse. Du coup, on est restés sur nos positions. Eux pensant que j’étais une petite arriviste et moi les trouvant… vraiment durs. Qu’ils n’aient pas cru à ma vocation est une chose, mais qu’ils ne soient jamais venus me voir en est une autre… Je me souviens après “Cousin, cousine”, j’entre dans leur loge, François Périer était là et me tombe dans les bras. Il leur lance : “Vous l’avez vue? C’est merveilleux!” Et ils ont tous les deux baissé la tête. Jean-Louis aurait dit que j’usurpais son nom… Je ne veux pas le croire.

Vous auriez pu changer de nom!
Mais pourquoi? Puisque c’est le mien! Je suis fière de m’appeler Barrault. Je ne pense pas que la manière dont j’ai mené ma vie leur fasse honte. Et peut-être aussi que la petite graine du théâtre a été déposée dans mon cœur et dans ma tête parce que je l’ai vue chez eux. Après la mort de mon père, nous allions avec mon frère régulièrement déjeuner chez eux. Là, j’ai découvert qu’il existait un monde où l’on exprimait ses sentiments, où l’on parlait de tout, des choses gaies comme de choses tristes. Et là-bas, je me suis dit: “Voilà, je veux vivre dans ce monde-là!”

Vous produire aujourd’hui sur cette scène, c’est donc rendre justice à votre histoire personnelle?
Oui. Vous n’imaginez pas combien Jean-Louis et Madeleine avaient mis la barre haut. Je ne voulais pas être une petite actrice à cause de cet héritage. Du coup, en ce moment, je n’arrête pas de parler de lui. Elle, c’était une immense actrice, mais dans la vie, une vraie teigne… Alors que Jean-Louis était un soleil. Longtemps, je n’ai été que “la nièce de Jean-Louis Barrault”. Il a fallu des années avant que mon prénom existe. Aujourd’hui, je me contente de dire “merci”.

« Une mort dans la famille» du 28 janvier au 20 février à Paris (théâtre de l’Odéon).

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